« Tout début a une fin... ;;
•Age ;; La Petite demoiselle toute timide que vous voyez devant vous (Ou pas hein, elle est VRAIMENT timide ^^') a une quinzaine d'année (Bon, je l'aurai bien faites plus jeunes mais je m'en tient aux règles.. Et aux non de la Tronçoneuse-Girl ) •Famille ;; Une voix dans la tête, un air un peu distant, des connaissances étranges... Oui oui, Mnésique, vous l'aurez compris ^^
•Statut ;; Aide cuisinier et Ravitailleur
•Pouvoirs ;; Eh bien comme tout les Mnésiques j'ai envie de dire ^^ La banale petite voix qui vous susurre des infos au creux de l'oreille, mais uniquement quand ça lui chante ^^
•Armes ;; La Petite Miss ne sais pas vraiment se battre, et est donc exécrable en tout ce qui concerne le maniement de n'importe quelle arme. Tenerz vous loin d'elle quand elle a un truc coupant ou pointu entre les mains... Sauf s'il s'agit d'un couteau de cuisine avec des ingrédients devant O/
«« dans le monde sorcier
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« My friend, the fates are cruels.
There is no dreams, no honor remains
Genesis, Loveless
FF VII
« Mais le temps est a nous ... ;;
Description physique ;;« Est tu Vent ou Nuage?
- Je suis Moi
Pierre Bottero, Ellana
Le Pacte des Marchombres
Description psychologique ;;
J'aime ► • Le silence d'une mélodie ou celui d'une foule qui se tait • La folie d'un ami • Le rire de qui que ce soit • L'odeur d'un fourneau
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Je n'aime pas ► • Le rouge qui me monte au joue dès qu'on me remarque ou me fait un compliment • La vue du sang • Le bruit et la puissance de la foule • Le froid de la solitude
| • Point particulier ;; |
Votre histoire ;;
Un cri. Une vie commence toujours et commencera toujours par un cri. Dans ce cris on peut tout entendre. Les premier et les derniers mots.
La voix adulte. La voix enfant. L'age de la mort, la raison. Les sentiments, la personnalité, le physique... Un seul cri peut tout dire. Tant qu'il s'agit du premier qu'un enfant pousse.
Ce qu'on a entendu dans le miens? Je sais pas, j'étais pas là. Enfin si, mais j'étais pas réellement consciente. Trop jeune. Les vrais souvenirs ne commencent qu'à l'âge de 3 ans il parait.
Je sais pas si c'est vrai. Je sais juste que je ne me souvient pas.
Je ne peux qu'imaginer. Et ce que j'imagine c'est que je suis restée silencieuse. Aussi muette que la tombe que je serai un jour, timide avant même de savoir ce que voulais dire ce mot.
De toute façon c'est ce que j'ai toujours été. Timide. Ou comment résumer une personnalité, une histoire, un monde à travers un seul mot. Pour que soit résumable à ce point je doit être vraiment pas intéressante...
Bref...
Je suis donc née un 24 janvier, dans ce que je pense être le plus grand des silences gêné et incompréhension parentale la plus totale. Minuscule, apparemment en sous-nutrition, silencieuse comme pas deux...
Une dernière chose pour vous montrer que tout était préparé pour montrer mon futur? Ce jour là, il pleuvait.
Ce qui motive la vie d'une gamine de six ans?
Les amis, les jeux... La joie de vivre... Moi j'en avais pas vraiment. Pas au sens propre du terme. Trop timide pour aller voir les autres...
Et quand c'est eux qui venais me parler je me cachait. Derrière mes cheveux.. Ma mère.. Un arbre... Ce que je connaissait déjà...
L'inconnu fait peur à l'être humain, c'est pour ça que sa première peur à été le noir...
N'ayant pas de réel "Ami", j'ai vite fini par m'emprisonner dans mon monde à moi, fait des mots que j'écrivais, des personnages que je dessinais, des livres que je lisais...
Colfer, Rothfuss, Tolkien, Carolls, Machiavel... Vous en connaissez beaucoup des gosses de six ans qui avait déjà lut ce genre de bouquins?
Moi oui. Moi. J'aimais les mots. Ils coulaient en moi, comme du sang. Du sang fait d'encre. Je dévorai chacun de ces livres.
Pourquoi j'aimais tant que ça la lecture? J'ai toujours pensé que je finirai par savoir qui me parlais dans ma tête si je lisais son nom.
J'ai souvent crut trouver. Le Chat de Chester, Gollum, Holly Short, Elodin... Je n'ai toujours pas trouvé.
En même temps, à sept an on m'a apris tout ce qu'il fallais apprendre sur les Famille... Je n'ai jamais trouvé toute cette histoire très interressantes...
Elle servait juste à faire que mon père et ma mère se dispute. Pour savoir si oui ou non ils devaient participer à la guerre... Guerre...
Je n'aime pas ce mot. Trop barbare.. Le "r" n'a jamais été une lettre douce. Elle ne coule pas sur la langue, ne nait pas de la douce union des deux lèvres...
Enfin bref... Un jour maman n'est pas rentrée... Et papa m'a expliqué...
Comment détruire les rêves d'une fillette de sept ans... Doux rêves transformés en cruelles utopies, éternelles illusions...
Des mots je suis passé à la musiques. Ils me faisaient trop mal, elle m'apaisait. Dans un livre, il n'est pas rare qu'un personnage meurt.
Les mots sont souvent trop représentatifs de la réalité. Les mots sont des dons, les mots sont des armes. Les mots ne se gaspillent pas.
Pour ma part je ne les gaspillait jamais. Je les évitaient... Y compris la voix qui m'avait habité... Et s'était tue...
La musique était devenue mon language. J'avais de la chance, des instruments il y en avait plein dans l'immeuble où j'habitai.
Certes ils appartenaient tous a quelqu'un, mais les gens m'aimaient bien et, devenue moins timide (En quelques années quand même, on fini par s'ouvrir)
j'osais leur demander de m'apprendre un peu. J'ai ainsi apris à jouer du piano, de la guitare, un peu de flute traversière, de l'ocarina...
Mais l'instrument que je préfère je n'y ai jamais touché jusqu'à mes dix ans...
Dans le salon, il avais toujours trôné depuis Sa mort. Je n'avais jamais osé demandé à mon père. Ca lui aurait rapellé trop de mauvais souvenirs...
Et à moi aussi...
Violon... A dix ans, à un moment où il s'était absenté pour je ne sais plus quelle raison. J'avais craquée..
Le doux son de ses cordes n'avais pas retentit depuis trois ans déjà... C'est simple un violon... J'ai vite compris... Deux notes jouée... J'ai accordé...
Facile, quand on ne vit que par la musique, délaissée des mots et des êtres humains, de reconnaitre des notes... Une fois l'instrument accordé j'ai commencé à jouer...
Retrouvé à l'oreille une mélodie que j'avais entendue... River Flow In You... Yiruma... A mesure que les minutes passaient je tentait de nouvelles mélodies...
Je ne jouait pas très bien, mais dans ma tête chaque note résonnait, accordée au son pleurant de l'archet sur les cordes.
Quand mon père est rentré, j'étais en larme...
Il est des moments où la vie prend un tournant. Un grand, un petit. En épingle à cheveux ou tout simplement en pente douce.
Car oui, ce tournant peut être à gauche, à droit, en haut, en bas... Tant qu'il n'est pas derrière. Dans la vie, on ne revient jamais en arrière.
On peut s'enfermer dans son présent, vivre de son passé. Souffrir chaque seconde qui passe à cause de nos choix ou nos hasards passés...
Mais pas revenir en arrière. Carpe Diem, ce qui est fait est fait.
Mais il existe des tournants... Toujours. Tout le temps. Anodins ou pas. Mais il y en a. Une vie n'est jamais droite.
Et quiconque essaye de rester droit sans jamais changer fini par se briser. Sous le poids de sa peine ou son orgueil.
Pour ma part je ne me suis pas brisée... J'ai toujours été pliée. Pliée parce que je ne voulais pas être droite. Toujours faire passer les autres avant moi.
Timide à l'extrême. Pliée comme un roseau sous le vent, pour laisser passer. Toujours souffrir, jamais mourir. Courbe éternelle. Jamais droite.
En même temps peut être pour le mieux...
Les larmes versée sur le violon de ma mère furent éphémères. Les mélodies que je retrouvais ensuite était ancienne.
De l'époque où j'étais encore plus petite que maintenant, et surement plus timide. Je me mis a jouer de plus en plus de violon, sans pour autant arrêter les autres instruments.
Mais mon violon ne me lâchait plus. Je ne le voulais pas, de toute façon. Même en cour, malgré les moqueries de certains.
Jusqu'à ce que je me mette à sécher... Je sais, c'est pas si étrange que ça, ni si gravissime (Vu comment était partit mes notes de toute façon...)
Mais pour moi ça n'avais de toute façon aucune importance que ce soit bien ou pas... A cause de la raison...
A cause d'un tournant imprévu...
Waiting for your
Call I'm sick
Call I'm angray
Call I'm desesparate for your voice
Listening
To the song we used to sing
In the car
As you remember Butterfly
Early summer
Is playing on repeat
Just like when we would meet...C'est fou comme les simples paroles d'une chanson peuvent vous replonger en arrière... Certe la musique était devenue importante pour moi...
Mais je ne pensais pas a ce point... Pas au point de me faire renouer avec les mots...
En fait, j'ai mal expliqué tout a l'heure... On ne peux se couper entièrement des mots... Il y en a partout... Les panneaux, dehors, les livres en cours, les chansons...
Mais ceux que j'évitait étaient bien précis... Des mots qui m'aurai rappelés ma mère.... Des mots qui m'auraient blessée...
Et bizzarement c'est les mots de cette chanson qui me replongèrent des années en arrière, à une époque où plus que la poésie des sons je préfèrait la mélodie des mots...
Pourquoi bizzarement? Parce que cette chanson, au premier abord, semble plutôt être une romance de plus, histoire d'un personne attendant sa moitié... De plus...
De plus les morts ne peuvent appeler... Ni au telephone ni autrement... Un mort est mort, il ne reviens pas...
Pourtant, moi, ce premier couplet dès la première fois où il frappa par hasard mes oreilles je fondit en larme...
Les images d'un passé enfouit me revinrent en pleine tête, faisant ravage sur le petit mur que j'avais érigé autour de mes émotions...
Une cicatrice no refermée... Une plaie béante.... L'absence d'une mère...
Cette retrouvaille avec les mots me fit plonger dans la deprime. Un truc normal pour une ado avec un passé comme le miens. Banal même...
Mais je m'en foutais d'être comme les autres... Je savais juste que j'avais mal et que j'en avait marre. Des cours, des masques que me présentait tout mes camarades...
Ces masques qui montrent des émotions qui, au fond, ne sont que des mensonges...
J'ai commencé à sécher les cours... Rien de bien grave bien sur (Surtout vu où en étaient mes notes)... Enfin, pour moi.
Mon père lui, fini par céder à la colère de me voir "Foutre ma vie en l'air". C'est dur de perdre le dernier soutient qu'on pensais avoir...
Mais je pense que je le méritait.. Je n'avais jamais été tendre avec lui, toujours un fardeau.. Alors plutot que de s'escrimer a me faire bosser, il m'envoya en orphelinat.
Vous allez penser que je suis folle mais j'ai bien aimé cette partie de ma vie. Je n'en fichais pas une de plus, mais au moins on me laissait tranquille...
Certe, on me regardais de travers, tant les profs que les élèves... Mais on me laissait tranquille...
Rapidement éxédée des couloirs trop bruyant et des chambres trop pleine, je me suis trouvé un endroit calme où je pouvais passer le temps à loisir.
J'avais, de plus, besoin de jouer régulièrement de mon violon, duquel je ne me séparait plus.
J'ai fini par trouver mon bonheur, un peu par hasard, sur le toit. Calme, plutôt propre malgré quelques zones à éviter. Et puis personne ne montait jamais ici...
De plus, chance inouit, il servait de débarat. Des meubles brisés et autres objets plus ou moins abimés trainaient là, abrités par une simple grande plaque en plastique.
Chaises brisées, une table auquel il manquait un pied, deux trois choses sans interet....
Quelques allés retour a l'interieur pour prendre deux trois affaires me suffirent à en faire un endroit où je venais me réfugier quand j'en avait besoin... C'est à dire souvent....
Autre fait interressant... Un objet, là haut, tranchait avec le reste... Simple mirroir au coin droit brisé et fendu d'une grande rayure, il n'aurait pas dut interpeler mon attention...
Mais il le fit... Parce que à mesure que je me perdais dans le reflet incomplet que je voyais, une voix que j'avais oublié me répètait dans la tête un mot. Un seul...
On échape jamais aux liens du sang... Jusqu'ici mon passé me suivait... Et ne me lacherai jamais....
"Ailleurs..."
On échappe pas à son passé. Il nous modèle, nous façonne... Et dans certains cas nous enferme. Nous tue.
Comment lutter contre une entité immatérielle aussi puissante que la vie elle même. Tout se plie face au Temps.
Et le Passé est une partie du temps. Peut on lutter contre quelque chose comme cela?
Pas moi. La peur céda. Pour donner place aux larmes. Je pleurais, souvent. Perdue. Pourquoi ce mirroir? Pourquoi ce mot?
Pourquoi cette guerre ne pouvais-je finir et cette voix se taire? Pourquoi ne pouvais-je vivre tranquille une bonne fois pour toute...?
Les larmes cédèrent... Et vint la curiosité, ravageant mes scrupule, ma peur et mon horreur.
J'avais de nombreuse fois entendu mes parents parler de cette Maison dans l'Ailleurs...
Et outre le fait que l'inconnu de cette Maison silencieuse et vide m'attirait, j'osais espérer que... Que quoi au fait....?
Que je trouverai quelque chose derrière...? Un trésor? Ma mère m'attendant avec un grand sourire? Je rêvais.
Et je le savais que c'était stupide. Mais je m'en fichait. Je voulais juste ouvrir cette fichue porte invisible...
J'ai commencé a chercher. J'ai taté le mirroir dans tout les sens, l'observais de longues heures...
Je ne savais même pas comment faire pour voir cette porte... comment aurai-je put ouvrir...? Mais je ne me décourageais pas... Pas au début...
Mais comme tout enfant fini par se lasser de ses jouets, je fini par me lasser de mon rêve... qui ne devint qu'une idée brisée...
Je montais toujours sur le toit. Là, je comtemplais le mirroir, des heures durants... Allais-je un jour passer au travers comme la jeune Alice...?
Ou bien resterai-je à attendre indéfiniment un salut qui ne viendrai pas...?
Quand j'en avais assez de regarder mon reflet brisé, je me détournais du miroir pour retrouver le contact rassurant se mon violon...
Mais tout fini par changer... Un rêve qui s'écroule enchaine la chute d'un autre, puis un autre, et encore, et encore...
Le mien s'arreta sur une lettre. Une simple lettre.
Dans laquelle se trouvait la pire nouvelle depuis un temps incalculable pour moi qui ne savais plus le jour ou le moi, ni même l'année...
Mon père était mort... La lettre prétendait a un accident de voiture... Mais ça n'était pas possible...
Mon père n'avais pas de voiture... Il n'en avait jamais eu besoin...
En même temps que les larmes une autre sensation monta en moi. De la fureur. La fureur de savoir que le Passé rattrapait toujours et frappais toujours.
Dans le dos. Quand on s'y attendait le moins...
Les Familles encore et toujours... Pourquoi...?! Pourquoi?! Mon père n'avais jamais participé a cette guerre. Pourquoi?!!
En moi, quelque chose se révoltait. Je ne savais si il s'agissait de la fille que j'étais ou de la Mnésique. Je savais juste que j'en avait marre de cette histoire de Familles...
Je voulais que cela cesse... Je n'avais jamais été violente... Mon poing s'écrasa dans la miroir, le faisant voler en éclat...
Ca faisait mal, c'était sur... Mais je m'en fichait. A ce moment, je ne voulais qu'une chose :
Que plus jamais je n'ai à perdre quelqu'un à cause de ces querelles incessantes.
Suivant le même chemin que mon poing, une chaise alla crever le fond du miroir, frappant le mur derrière lui.
Vider de ma force par ma colère et mes larmes je m'effondrai, en pleurs.
Et ne bougeait plus, décidée a me laisser mourir, mon caractère reprenant le dessus sur ma rage...
Ce qui me réveilla..? Je ne le saurai jamais. Le bruit de la brise légère? Son souffle? La douce lueur d'une aube naissante?
Ou bien le jeune garçon me regardant fixement avec un grand sourire aux lèvres...? Surement lui...
A y réfléchir, je trouve qu'on aurait put le comparer au personnage du Chat dans Alice... Mais bon...
Les yeux accrochés à son visage, ma première reflexion fut de me demander comment il était monté là.
La dexième de me demander pourquoi.
Tournant la tête de droite à gauche voir si quelque chose avait changé, je ne remarquait au premier abrod rien de spécial...
Avec pourtant une impression étrange que quelque chose manquait... Ou était en trop... Quand je compris mes yeux s'ouvrirent en grand.
A travers le mur, en partie voilée par le cadre du miroir, s'ouvrait en grand une porte. Une porte massive, en bois... Ouvrant sur l'Ailleurs...
Sans plus preter attention à moi le garçon/Chat du Cheshire s'engoufra dans l'embrasure de la porte et disparut par la droite...
Moment irréel... Je ne reflechissait plus vraiment, j'agissait. Serrant mon bras bléssé sontre moi, je m'avançait...
Et la porte se referma avec un claquement sec dans mon dos...
Famillier ;;
•Age ;; •Nom;; •Race ;; •Infos ;;
«« dans le monde sorcier
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« Et nous en sommes rois. ;;
•Pseudo ;; Mera Harch, Cheshire, Zedd... Je compte plus trop en fait ^^ Les deux les plus utilisés restant Zedd et Cheshire ^^
•Age ;; J'ai 15 ans ^^
•Comment avez-vous connu le forum ? Par Steven, que j'ai connu par une, colo, que j'ai connue par... Bon, jvai pas refaire tout le chemin mais en gros par Steven ^^ (MON NEKO SAMA NA MOI O.O)
•Comment le trouvez-vous ? Franchement pas mal ^^ Deux trois trucs qui pourrai être améliorés mais rien de trop flagrant ^^ (Et connaissant la galère de gerer un forum, je vais pas me plaindre x) )
•Idées d'amélioration ? Deux trois fautes d'orthographe par ci par là, la largeur du fo qui change quand on passe la souris sur le titre de certains sujets... A part ça pas grand chose, je pense ^^
•Votre présence sur 10 ;; Euh... Honnêtement j'en sais rien ^^' J'essayerai de passer tout les jours mais c'ets pas dit que j'y arrive ^^'
Quelle est la couleur utilisée par les admins pour les annonces officielles ?
Okey by Miri