« Tout début a une fin... ;;
•Age ;; 17 ans •Famille ;; Cogiste •Statut ;; explorateur •Pouvoirs ;; n'arrive pas à le contrôler lorsqu'il est soumis à de trop fortes émotions •Armes ;; gants griffes à chaque main (imaginez Wolverine) et katana
«« dans le monde sorcier
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« Mais le temps est a nous ... ;;
Description physique ;;Description psychologique ;;
Je n'aime pas ► •-le bruit •la saleté •les sucreries •les lâches •les imbéciles, donc à peu près tout le monde
| • Point particulier ;; ses cheveux verts |
Votre histoire ;;Mon chéri vient un peu par ici.
L'air grave, les sourcils froncés, Bartélémy Akano, dix ans depuis aujourd'hui, s'approcha de sa mère. Devant elle, une élégante femme se tenait. Et juste à ses côtés, un enfant un peu plus grand que lui, un sourire éclatant aux lèvres. Son visage rayonnait de joie de vivre, effet accentué grâce à la couleur on ne peut plus rougeoyante de ses cheveux en bataille.
-Mon chéri je te présente ma sœur, et son fils Kyosu de deux ans ton aîné.
L'enfant adressa un signe de tête formel, comme on le lui avait appris. Son éducation lui ordonnait de minimiser les démonstrations affectives, voire de complètement les réfuter. Il venait juste d'atteindre ses 10 ans et il maîtrisait déjà cet art à la perfection.
-Tu étais tout bébé lorsqu'on s'est vu. Tu as tellement grandi, lâcha celle qui était supposée être sa tante.
Bartélémy eut un reniflement dédaigneux. Bien évidemment qu'il a grandi. N'est-ce pas le propre de l'être humain ? Les adultes faisaient preuve d'une stupidité légendaire.
-Bien mon chéri. Fait visiter la maison à ton cousin pendant que ta tante et moi discutons.
-Oui mère, répondit poliment l'enfant, déjà ennuyé de ce rôle.
Une légère inclination de la tête, et il adressa un petit signe du doigt à son nouveau cousin. Ce dernier, sans perdre ce sourire idiot, lui emboîta le pas. Bartélémy le voyait comme un enfant de deux ans plus grand, mais atteignant certainement les deux ans d'âge mental. L'enfant n'avait pas l'habitude qu'on s'adresse à lui avec un sourire si franc et dénué de toute ironie. Durant cette visite où il ne fit que sourire, l'écoutant lui annoncer d'une voix monocorde les pièces où ils entraient, Kyuso n'ouvrit pas une seule fois la bouche. Mais ses yeux pétillaient allègrement et il n'avait pas l'air de montrer le moindre signe d'hypocrisie. Cette vision le déstabilisa complètement, même plus qu'il se laissait persuader.
-Et ta chambre, alors ? l'interrompit brusquement Kyuso alors qu'il présentait la salle des trophées, où son étagère était déjà bien remplie.
Peu habituée à cette discourtoisie pourtant évidente dans leur famille, Bartélémy ne répondit pas tout de suite. Les sourcils légèrement froncés en signe de désapprobation, il parvint néanmoins à garder son calme. Plus il avançait dans l'âge, et plus son caractère se calmait. Au plus grand bonheur de ses parents qui voyait en lui le fils parfait. Et en même temps, c'était le seul.
-Comment ça ma chambre ? répéta doucement Bartélémy.
-Et bien... tu vois, c'est un lieu où l'on dort en règle général, sourit Kyuso.
L'enfant serra les poings, s'attendant à se voir crouler sous des railleries insupportables. Mais il n'en fut rien. Le ton malicieux de son cousin n'avait rien de sarcastique ni de méprisant. Cela le déstabilisa plus encore.
Bartélémy, pour la première fois de sa vie, fut confrontée à quelque chose d'inhabituel. Et cette rencontre allait changer son destin. A jamais.
***
-Allez ! Files-moi ton fric !
Bartélémy ouvrit un œil, puis deux. Allongé sur le banc de la salle de physique-chimie, les bras croisés sous la tête, un bouquin recouvrant le bas de son visage, il était venu chercher un peu de tranquillité, loin de cette agitation bruyante qui régnait habituellement dans la cours du lycée, lors des pauses de midi. Cependant, sa quiétude était, visiblement, destinée à être éternellement rompue. Si un jour ce n'était pas le couple qui se bécotaient impunément dans les salles de physique-chimie, et bien le deuxième était réservé aux petits trafiquants de drogue, ou encore, comme aujourd'hui, au bizutage.
-Je... je... je...
-Tu... tu... tu QUOI ?!
Le jeune poussa un soupir résigné. Sa sieste allait, encore une fois, être perturbée par une bande de vieux boulets qui se prétendaient Roi des Rebelles.
-Fichez-lui la paix, annonça-t-il calmement, ne bougeant pas d'un pouce de son banc.
-Qui parle ?! Montre-toi ! Tu sais à qui tu t'adresses ?
-A une bande de crétins unijambistes ? Il semblerait oui.
Songeant qu'il n'allait pas faire bouger les choses en restant assis sur ce banc à ne rien faire, il se leva doucement, retirant son livre pour le poser avec précaution sur le banc à côté de lui. Les cinq crétins unijambistes émirent un hoquet effrayé.
Ah oui. C'était souvent l'effet qu'il produisait. Évidemment, qui ne connaissait pas le grand, le seul, l'unique Bartélémy Akano ? Ce jeune homme si beau, si maniéré et calme, à l'apparence si fragile et si intelligent que l'ont croirait aisément à un petit intello richouse de première classe ? Il avait été si facile d'essayer de le provoquer, de lui soutirer une jolie petite somme puisqu'il croulait dessus. Qui aurait pu penser qu'il viendrait aisément à bout des dix minables qui s'en étaient pris à lui, en à peine cinq minutes ? Personne. Et personne non plus n'avait pu penser que les pauvres âmes qui s'étaient risqués à cette aventure dangereuse, avaient, inexplicablement, terminé leur périple à l'hôpital. Quelques membres cassés à ce qu'il paraît.
Et étrangement, depuis ce jour, plus personne ne se risqua à venir le déranger.
-A... A... Akano, réussit, par un heureux miracle, à articuler l'un d'eux.
-C'est ainsi qu'on me nomme, en effet. Peut être devrais-je te laisser la vie sauve puisque tu as réussi à te souvenir brillamment de mon nom. Mais je ne suis pas sûr de pardonner qu'on trouble ma sieste.
La bande se consulta du regard. Il ne faisait vraiment pas le poids. Finalement, ils optèrent pour la décision la plus sage et la moins risquée, à savoir... la fuite. Le binoclard qui n'en croyait pas sa chance demeurait là, à les regarder se sauver, bouche ouverte, bras ballants.
-Tu... merci, souflla-t-il.
Bartélémy détourna les yeux, plantant irrémédiablement son regard dans le sien.
-C'est valable pour toi aussi, le binoclard. Je fais une sieste. Du moins, j'essaye.
La phrase n'avait été qu'à peine murmuré, pourtant on pouvait sentir l'acidité menaçante de chacune de ses paroles. Le binoclard frissonna, et préféra imiter ses bourreaux de peur de subir la colère du deuxième.
Le jeune homme eut un sourire satisfait. Sa sieste l'attendait.
Ou pas.
Au même instant, un inconnu sorti de nulle part. Les cheveux châtains, l'air malicieux de l'abruti mentalement dérangé, il apparut si soudainement devant lui que Bartélémy n'eut pas le temps de cacher sa surprise.
-Je sais ce que tu veux.
Il se passa quelques secondes, le temps qu'il se remette de sa surprise, avant qu'il ne réponde :
-Formidable, donc tu vas pouvoir retourner d'où tu viens et me laisser me reposer, grommela-t-il, de très mauvaise humeur.
-C'est une possibilité. Ou alors je peux t'emmener dans cet endroit que tu cherches tant. Avec ton cousin.
A ce moment, deux pensées le frappèrent brusquement. La première, que sa sieste n'allait jamais pouvoir se faire. La deuxième, qu'elle n'allait jamais avoir lieu pour la simple et bonne raison que la personne qui se tenait devant elle n'avait rien d'ordinaire. Kyuso et lui étaient au courant des légendes. Du petit Elio, de ses parents, de l'Autre, de la Maison. Bartélémy, contrairement à son cousin perturbateur, y avait toujours vu une grosse farce, une légende, donc, par conséquent, une histoire irréelle mais assez passionnante. Pourtant, Kyuso avait réussi petit à petit, comme à son habitude, à le dissuader de cette réalité. Involontairement, il avait fini par croire aux arguments saugrenus de son cousin. Et la preuve que tout ce qu'il lui avait dit était très certainement réel, se tenait devant ses yeux. Une Maison dans l'Ailleurs. Quelque chose qui n'était pas censé exister, et qui dépassait sa réalité la plus folle. Pourtant, elle semblait bel et bien existait.
-Alors ? Prêt pour le voyage ?
Bartélémy n'hésita pas. Cela aurait pu être une ruse, mais aucune Famille n'a le pouvoir de sortir de nulle part. Hormis les Guides... qui n'existaient plus depuis une éternité.
Censé de ne plus exister.
-Je viens.
Et il lui suivit. Par cette porte étrange, qui l'emmènerait loin de ces minables, loin de ce lycée, loin de cette vie, et surtout, loin de sa famille et leur guerre stupide. A jamais.
Famillier ;;
•Age ;; •Nom;; •Race ;; •Infos ;;
«« dans le monde sorcier
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« Et nous en sommes rois. ;;
•Pseudo ;; Baty
•Age ;; 17 ans
•Comment avez-vous connu le forum ? par Miri et N'Iris
•Comment le trouvez-vous ? superbeuuuuh
•Idées d'amélioration ? non
•Votre présence sur 10 ;; 5
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[Ok by Ayame]