« Tout début a une fin... ;;
•Age ;; 19 ans •Famille ;; mnésique •Statut ;; cuisinière •Pouvoirs ;; son encyclopédie mentale est riche et variée. Meron a appris à s'en servir depuis son plus jeune âge ce qui lui donne un bon contrôle dessus •Armes ;; bolas
«« dans le monde sorcier
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« Mais le temps est a nous ... ;;
Description physique ;;Description psychologique ;;
Je n'aime pas ► • lorsqu'on touche à ses cheveux • ceux qui jugent sans savoir • les reptiles • la pluie • le froid
| • Point particulier ;; |
Votre histoire ;;-Un, deux, trois nous irons au bois, chantonna une petite gamine haute comme trois pommes.
Une épaisse chevelure blonde époustouflante, des yeux verts foncés luisant, elle jouait avec une de ses innombrables poupées. Sa gouvernante pliait le linge, écoutant sa mélodie d'une oreille distraite.
Meron Amai, quatre ans, venait tout juste de rentrer du jardin d'enfant et songeait avec sérieux aux vêtements qui conviendrait à sa petite poupée de cire. Enfant de haute lignée, elle savait déjà se contenir. Ne jamais parler plus haut que le murmure du vent, ne jamais élever la voix, ne jamais contredire un adulte, ne jamais parler si l'on avait pas la parole et la liste était encore longue. Seulement Meron restait une enfant. Et malgré tout ces petits efforts pour plaire à ses parents, son esprit innocent ne pouvait comprendre pourquoi ces derniers la délaissaient.
Si elle avait été confronté avec les petits bouts de choux de la moyenne classe, elle aurait pu comprendre qu'avoir de l'argent n'était pas une nécessité pour accéder au bonheur qu'elle recherchait. Aucune de ses poupées n'arrivait à la cheville des câlins maternels.
-Meron, il est bientôt l'heure de vous coucher, annonça sa gouvernante d'une voix douce.
La petite fille soupira tristement. Encore une journée sans voir ses parents.
***
-Mais... pourquoi Meron ?
-D'après les dire de ma gouvernante, elle ne cessait de manger du melon, rit-elle. Et comme mes parents ne sont pas des gens... imaginatifs, ils ont préféré piocher dans la facilité.
-Au moins c'est original.
-Je ne peux pas prétendre le contraire.
-Miss Amai and miss Tsukino ! Can you repeat what I've said ? ordonna leur professeur d'anglais d'une voix sévère.
-Of course. Shakespeare was born in the XVI century, probably in April but we don't know precisely. He wrote a Midsummer Night's Dream between 1594 and 1595. It's a complex story which take place in the ancient Greece. The plot begin with Theseus and Hippolyta, the queen of the Amazone. About four stories....
-Stop ! Very good, complimenta la professeur à contrecoeur. Ca passe pour cette fois, mais que je ne vous y reprenne pas !
-Yes madam.
Après un regard noir adressé à son élève, elle poursuivit son cours. Meron surprit l'expression admirative de son amie, et soupira. Depuis toute petite, la jeune fille savait qu'elle était une personne à part. Sa conscience s'exprimait à voix haute directement dans son esprit pour l'informer de telles ou telles choses. C'était comme si elle possédait une encyclopédie virtuelle au fond de son esprit qu'elle pouvait ouvrir à tout moment. De plus, il lui suffisait de lire une phrase pour la retenir.
Meron avait grandi en plein dans les histoires de la Famille. Ses parents avaient voulu faire d'elle une véritable machine de guerre qui pourrait leur garantir la victoire de cette guerre absurde. Son esprit tactique et logique était un atout fondamental. Cependant la jeune fille aspirait à une vie normale et calme, loin de ces meurtres, coups bas et autres conspirations écoutantes.
Une vie de paix.
***
-Tu as dix secondes, pas une de plus ! gronda son père.
Meron fronça légèrement ses sourcils. Son habituelle bonne humeur avait disparu, laissant place à une sévérité frappante, en totale contradiction avec son tempérament naturel. Ce qui ne présageait rien de bon.
-Je n'en peux plus, père, commenta-t-elle, agacée.
-Meron, je n'ai pas besoin de ton avis. Tu fais ce que je t'ai dit et point final.
La jeune fille leva la tête brusquement, plantant son regard impénétrable dans celui de son père. Prête à lui dire le véritable fond de sa pensée, elle se retint cependant.
-J'ai besoin de me reposer père. Je ne ferais rien tant que je n'aurais pas pris un peu de repos. Comprenez que je ne suis pas une machine mais un être humain.
Son père plissa un instant les yeux. Sa femme posa une main sur son épaule, l'empêchant ainsi de réprimander sévèrement sa fille.
-Bien, je t'accorde une heure. Mais c'est bien la première et la dernière fois.
-Oui, père. Merci.
Sans plus attendre, elle partit dans sa chambre. Une heure s'était amplement suffisant.
-Maya, au pied. On s'en va.
La chienne gambada vers sa maîtresse, laissant échapper un aboiement joyeux.
-Chut.
Ah, elle le connaissait cet ordre. C'était sans doute l'un des plus utilisé. Meron prit son sac, vérifia une dernière fois l'état de sa coiffure. Puis, elle attacha sa chienne avec un drap, ouvrit la fenêtre, et doucement la fit glisser vers le sol.
-Attends-moi surtout, murmura-t-elle.
Elle avait au moins la chance de ne pas vivre au dernier étage. Meron attacha le drap au pied de son lit et descendit elle aussi rejoindre sa chienne. Meron avait tout prévu. Elle savait que les gardes allaient l'apercevoir, c'était inévitable. C'est pourquoi elle avait préparé les cookies. Depuis plusieurs années déjà, elle préparait son évasion. Elle s'était débrouillée pour faire des gâteaux et les offrir aux gardes. Cela faisait bien deux ans que ce petit ménage durait, et les sentinelles avaient fini par s'y habituer. Aussi, personne ne soupçonna quoique ce soit lorsque Meron, accompagnée de sa chienne s'avança vers elles pour faire distributions de cookies. Cinq minutes plus tard, elle reprenait le sac qu'elle avait dissimulé dans un buisson, et passait au travers les gardes endormis. Elle avait pris bien soin de dérégler les caméras, avec un retard de dix minutes entre la réalité et la reproduction des images sur les petits écrans. Autrement dit, elle avait bien cinq minutes d'avances.
Mais lorsque, cinq minutes plus tard l'alarme fut donnée, Meron et Maya étaient déjà loin, et la moto du père manquait.
L'avantage lorsqu'on grandissait dans ce genre de Familles, c'était que non seulement l'éducation était complète sur tout les points, mais qu'en plus elle était parfaite. Alors en plus des cours normaux, elle avait eu le droit au marketing, comment bien servir le thé, la cuisine, les arts martiaux, les conduites de certains véhicules ou encore quelques langues répandues et rares.
Mais ce dont Meron pouvait se vanter à ce moment, c'est qu'elle avait pu se débarrasser de sa Famille, et essayait de mettre un terme à cette stupide guerre en... en... elle ne savait pas encore comment mais elle trouverait.
C'est sur cette pensée qu'un jeune homme sortit de nulle part.
Famillier ;;
- Spoiler:
•Age ;; 3 ans •Nom;; Maya •Race ;; golden retrevier •Infos ;; un pelage doux et beige, des yeux noisettes à faire fondre l'Antarctique, un tempérament joueur et amical
«« dans le monde sorcier
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« Et nous en sommes rois. ;;
•Pseudo ;; Meron
•Age ;; 18 ans
•Comment avez-vous connu le forum ? Top site
•Comment le trouvez-vous ? Ben bien sinon je ne serais pas là
•Idées d'amélioration ? Pas pour le moment
•Votre présence sur 10 ;; 7
Quelle est la couleur utilisée par les admins pour les annonces officielles ?
Okay by Miri